Quelle est l’autonomie moyenne ?

À l’instar de nombreux appareils électriques, les scooters électriques s’accompagnent d’une batterie pouvant s’alimenter sur secteur. L’autonomie de cette dernière dépend en grande partie de la technologie utilisée par le fabricant lors de sa conception.

Quoi qu’il en soit, la majorité des deux-roues en circulation actuellement sont en mesure d’effectuer des trajets allant de 40 à 100 km, avant de nécessiter une recharge. C’est largement suffisant pour assurer des déplacements sereins en milieu urbain. En effet, dans certains pays comme en France, les trajets des Français pour se rendre à leur lieu de travail et en revenir sont compris dans cette fourchette.

Aussi, une autonomie de 40 à 50 km permet une utilisation largement confortable du deux-roues électrique. Certains modèles électriques classés dans la catégorie des 125 cc peuvent même avoir une autonomie de plus de 100 km. Ils permettent ainsi de rouler plus loin et plus vite sans risque de panne. On a aussi sur le marché, des deux-roues d’exception qui tablent sur une autonomie allant au-delà de 200 km.

Les facteurs qui influent sur cette autonomie

Comme évoqué plus haut, de nombreux facteurs viennent influencer l’autonomie d’un scooter électrique. Lorsque ce dernier embarque un moteur puissant, sa batterie a plus de chance de durer plus longtemps. L’autonomie d’un scooter électrique classé en 50 cc sera par exemple plus faible comparée à celle d’un modèle en 125 cc.

Outre la puissance du moteur embarqué, les différents modes disponibles sur le scooter électrique impactent également son autonomie. Si vous comptez préserver cette dernière, privilégiez surtout les modes éco et normal.

À part cela, votre manière de conduire influera sur la charge de la batterie du scooter électrique. En ce sens, il est préférable de favoriser les décélérations et les accélérations progressives pour préserver l’autonomie de votre véhicule.

Enfin, d’autres facteurs tels que la pression des pneus, votre poids, les conditions climatiques et le type de parcours sont tout aussi déterminants pour l’autonomie de votre scooter électrique.

Silence, une marque de scooters électriques à meilleure autonomie

Actuellement, circuler avec un deux-roues électrique est nécessaire. Pour cause, l’utilisation de celui-ci n’est pas néfaste sur l’environnement et vous permet d’éviter les embouteillages. Si vous êtes alors à la recherche d’un scooter électrique ayant un meilleur rapport qualité-prix, vous ne serez pas déçu. Vous pouvez en trouver dans des magasins en ligne.

D’ailleurs, il y a la marque Silence qui est présente sur le marché depuis 11 ans et qui se targue de proposer des scooters électriques. L’autonomie de ce type de scooter est largement au-dessus de la moyenne. Le premier modèle Silence S01 affiche par exemple une belle autonomie de 115 km. Sur une utilisation en mode éco, la batterie peut durer plus de 130 km, tandis qu’en mode sport, l’autonomie est estimée à un peu moins de 100 km.

En 2020, Silence sort aussi son S01 destiné pour les particuliers. Le modèle présente une fiche technique intéressante et de belles performances, avec une autonomie de 127 km pour une vitesse de 100 km/h.

D’autre part, le fabricant annonce une excellente durabilité de ses batteries. En effet, des études effectuées auprès d’usagers et réalisées par les équipes de son service R et D ont démontré que même après 40 000 km, les batteries Silence préservaient une capacité énergétique moyenne d’environ 97 %. En termes de durabilité, ces scooters électriques s’avèrent donc fort intéressants.

La marche

Il s’agit d’un sport d’endurance parfois oublié, mais le plus simple et basique permettant de mobiliser l’ensemble du corps. Pas besoin de matériel spécial, il suffit d’enfiler des baskets adaptées en fonction du terrain à emprunter. L’exercice consiste à faire une sortie de 40 minutes à 1 h à un rythme légèrement plus rapide que celui de la balade. La marche présente beaucoup de bénéfices : s’aérer, se dépenser, et même se muscler, s’il s’agit d’une marche nordique.

Nos conseils : privilégiez la marche au lieu de prendre les transports autant que possible et hydratez-vous bien.

La course à pied

Commencez par une sortie de 15 minutes par jour si vous êtes débutant(e). Augmentez progressivement la durée au fur et à mesure des progrès réalisés. Pour les plus averti(e)s, l’idéal est de faire trois sorties de 40 minutes par semaine. Il est toutefois nécessaire de varier les séances, que ce soit en effort ou en durée. Faire 15 minutes de fractionné le jour 1 puis 20 minutes de fond le jour suivant par exemple. Quant au matériel à utiliser, une paire de baskets suffit ! Alors, pas question de se trouver des excuses pour ne pas s’y remettre. Vous trouverez sur cette page les bienfaits de la course à pied au niveau respiratoire, moral, cardiaque et musculaire.

Le street workout

Comme son nom l’indique, le principe du street workout est de se construire un entraînement à l’extérieur. Mais comment ? En utilisant les différents éléments extérieurs qui vous entourent : les escaliers pour faire des montées-descentes (un meilleur entraînement cardio-fessier), les bancs publics pour faire des dibs… Que ce soit pour un entraînement cardio ou un renforcement musculaire, le mobilier urbain peut être un allié pour s’entraîner.

Adaptez l’exercice au fur et à mesure de votre progrès. La première semaine, faites un squat simple, puis un pistol squat, et pour finir un squat sauté sur un banc. Trouvez un terrain adapté près de chez vous et n’attendez plus pour commencer votre street workout !

Le vélo

Même s’il est possible de faire du vélo à l’intérieur avec un matériel d’appartement, la pratique à l’extérieur reste l’option la plus privilégiée des amateurs de ce sport d’endurance. Cela se comprend : chaque sortie permet de découvrir des beaux paysages, prendre l’air et se ressourcer. Avec un vélo de route, vous pouvez faire votre parcours en fonction de vos objectifs.

Le vélo est en effet un sport de plein air. Il se pratique donc idéalement à l’extérieur. Le cerveau sera mieux oxygéné grâce à l’aération, ce qui est bénéfique pour les différentes fonctions vitales de l’organisme. Le fait de pédaler dehors et de s’exposer à la lumière naturelle présente également un grand avantage. Cela aide à bien synchroniser les rythmes circadiens, donc à réduire les risques de dépression, de stress et d’anxiété. Et cela sans parler des bienfaits de cette activité au niveau cardiaque et musculaire.

Attacher bien vos patins

Pour bien profiter de votre glisse, il est essentiel de bien attacher vos patins. Vos pieds doivent se trouver dans des conditions optimales pour bien patiner. Rappelez-vous que votre patin est différent d’une chaussure de ski. Vous aurez besoin de bien lacer et de bien ajuster vos chaussures de glace. Il faut veiller à ce que les orteils ne touchent pas le bout et le talon de décoller de la semelle.

Ne pas oublier de porter des gants

Certes le patinage est un sport d’hiver. Toutefois, rien ne vous oblige à vous habiller chaudement. Ceci est pour éviter de trop transpirer durant les séances. Le mieux est de porter des vêtements amples permettant des mouvements libres. À la place des jeans, mettez des leggings. Outre le casque et les genouillères, enfilez également des gants.

Ne pas trop se précipiter

Pour une personne qui n’a jamais fait du patinage et du roller, il est important d’être patient et ne pas trop vous presser. Il faut du temps pour réussir à tenir debout sur la glace. Pour commencer, vous devez vous mettre sur le bord. Puis, vous pouvez lâcher de temps en temps pour faire des toutes petites glisses. Pensez à fléchir les genoux et de vous pencher légèrement vers l’avant.

Glisser avec classe

Une fois que vous avez réussi à tenir debout sur la glace et à maitriser votre équilibre, il est alors grand temps de vous lancer. Pour ce faire, vous devez fléchir les jambes et les pousser vers l’arrière. L’une des jambes doit être pendant lorsque l’autre glisse.

Savoir freiner

Le fait de savoir freiner est indispensable en patinage. Notez qu’il existe deux méthodes de freinage, dont le chasse-neige et le dérapage. Bien que le freinage par dérapage soit plus classe, le chasse-neige suffit largement pour votre premier essai. Si vous souhaitez glisser facilement sur la glace et de profiter d’un bon freinage, l’idéal est d’aller aux patinoires à l’ouverture.

Avoir le budget nécessaire

La passion ne suffit pas pour se lancer dans la pratique de parapente. Vous devez tenir compte de votre situation financière. En effet, il faut savoir que faire du parapente coûte cher d’autant plus si vous débutez. Si ce critère n’est pas un problème pour vous, alors prévoyez deux budgets, à savoir celui de la formation et le budget pour l’achat de matériel de bonne qualité.

Faire un stage

Si vous voulez vraiment apprendre le parapente, l’idéal reste toujours de faire un stage. Se former en école vous permet d’acquérir rapidement des connaissances et des expériences de vol. Cela permet entre autres d’apprendre à piloter en toute sécurité et de pouvoir voler seul. Pour un stage d’initiation en parapente, vous devez préparer environ 600 euros (à peu près 5 jours de formation). Notez qu’il existe des écoles qui proposent un stage échelonné sur plusieurs week-ends.

Acquérir de bon équipement

En ce qui concerne vos matériels de vol, il faut acheter des accessoires de qualité, car votre sécurité en dépend. L’équipement du parapentiste comprend une voile de parapente, une sellette, un parachute de secours, un casque et une radio. Parmi les voiles de parapente ayant un très bon rapport qualité/prix, on peut retrouver la marque Nova, modèle Prion 4, le produit de Sky Paraglider de modèle Aya ainsi que la marque Dudek, modèle Nemo 4.

Voler à plusieurs

Pour vous motiver dans votre progression, il est conseillé de trouver des copains ou des partenaires de vol. Pour ce faire, vous pouvez intégrer un club de parapente le plus proche de chez vous. C’est une occasion de faire connaissance avec les parapentistes locaux. Ces associations favorisent souvent le partage et l’échange d’expérience.

Voler de manière régulière

Même si vous avez terminé votre stage, il reste toujours indispensable de s’entrainer régulièrement en vol. Votre progression dépend du nombre de vols que vous effectuerez par semaine ou par mois. En volant souvent, vous allez vite apprendre à sentir votre voile. À côté, une personne qui vole rarement n’a que des angoisses à chaque vol.

L’âge idéal pour débuter en équitation

Si vous avez peur d’être considéré comme trop jeune ou trop vieux pour commencer à faire de l’équitation, sachez qu’il n’existe pas de restriction d’âge à ce sport. En effet, l’âge des cavaliers se situe souvent entre 18 mois et 77 ans. Pour les tout-petits, les centres équestres possèdent une section poneys-clubs pour accueillir les enfants à partir de 5 ans et même une section Baby Poney pour les bambins de 18 mois à 4 ans. Dans la catégorie Baby Poney, les enfants auront à apprendre le respect de l’animal et des règles, le sens de l’équilibre, la confiance en soi ainsi que l’autonomie.

Les critères de choix d’un centre équestre

Pour bien se perfectionner en équitation, l’idéal est d’intégrer un centre équestre. Comme premier critère, la convivialité du centre doit être mise en avant. En effet, la pratique de l’équitation est le moment pour se ressourcer et de partager des moments conviviaux. Si vous comptez inscrire vos enfants à un centre équestre, il faut veiller à ce que l’établissement ait différentes tailles de montures correspondant à celle du cavalier. Pour un débutant, apprendre les premiers rudiments de l’équitation reste indispensable pour avoir une bonne base. Toujours pour les critères de choix d’un centre équestre, le mieux est de visiter les lieux et de discuter avec les moniteurs pour se faire une idée de l’établissement.

L’équipement de base du cavalier

Les matériels que vous aurez besoin en équitation sont le casque et une bombe. En effet, le port du casque est un prérequis pour pouvoir chevaucher dans un club. Cet équipement offre une protection à la tête du cavalier en cas de chute. Néanmoins, pour assurer une protection maximale, le casque doit être bien ajusté à la tête. En équitation, les cavaliers doivent porter une culotte d’équitation, un pantalon renforcé. Le port du jeans n’est pas très recommandé, puisque cela peut créer une source d’irritations. En ce qui concerne les chaussures, vous devez avoir une paire de boots et de mini-chapes pour équitation. Mais, dans le cas échéant, vous pouvez toujours mettre des bottes de pluie. Comme autre équipement, il faut aussi porter du gilet de protection et des gants.

Pourquoi suivre des cours de self défense ?

La raison principale est de se sentir plus en sécurité, de savoir quoi faire en cas d’attaque et d’intimidation. Sans jamais soutenir la violence, il vaut mieux être préparé.

En plus de vous apprendre à vous défendre, les cours de self défense vous aideront à tonifier chaque muscle de votre corps, tout en entraînant votre esprit. Le résultat ? Vous connaîtrez mieux votre potentiel et augmenterez votre endurance physique de façon exponentielle. Les cours de self défense vous aideront à contrôler vos impulsions et savoir comment gérer les dangers.

L’un des avantages indéniables des cours de self défense est qu’ils contribuent à calmer l’anxiété et à réduire le stress. Ils vous aident également à laisser de côté les pensées et les états négatifs et à bien canaliser votre énergie.

Quelques sports d’autodéfense

Voici quelques disciplines d’auto-défense que vous pouvez pratiquer :

– Amazon training

Si vous recherchez un cours de self défense exclusivement réservé aux femmes, il n’y a pas de meilleur choix. Cette discipline permet de mieux développer les aptitudes physiques et mentales dont les femmes ont besoin pour se défendre. En plus de développer les capacités à se défendre, l’amazon training permet d’affiner la silhouette. Rendez-vous sur cette page pour en savoir plus sur les programmes concernant cette discipline.

– Jiu-Jitsu

Cet art martial japonais se concentre sur les centres de gravité de l’agresseur et de la victime. La technique est basée sur des attaques par strangulation. Certaines techniques consistent à disloquer l’adversaire.

– Kickboxing

Cette pratique japonaise est le résultat du mélange de deux disciplines : la boxe et les arts martiaux. Elle est basée sur des coups-de-poing, de pied et de genou. Ses mouvements sont rapides et cherchent à distraire l’adversaire.

La pratique de l’aquazumba

Comme son nom l’indique, l’aquazumba est un sport qui a pour principe de faire de la zumba dans l’eau de la piscine. C’est un sport qui se pratique dans la bonne humeur, car il y aura toujours une musique énergique sur laquelle s’entrainer. L’un des plus grands avantages de l’aquazumba, c’est son effet déstresseur.
Mais l’aquazumba a également de nombreux bienfaits sur la santé. Le corps est travaillé dans son ensemble jusqu’au niveau du cœur. Ce sport contribue donc au bon fonctionnement cardiaque et permet de se protéger des maladies cardiovasculaires. Ce sport est adapté à tout type d’âge, que ce soit pour les petits ou les plus grands.

Pratiquer le vélo en bassin

Le vélo en bassin est l’activité idéale pour mincir très rapidement. C’est un sport qui se retrouve dans divers centres de fitness. Le principe est simple. Un vélo du type appartement est posé à l’intérieur d’un bassin, face à la pression de l’eau. Il suffira juste de pédaler par la suite.
Pendant toute une séance de vélo en bassin, il suffira de pédaler en continu. L’eau va émettre une pression au corps, ce qui va demander au sportif de redoubler d’efforts. De cette façon, le taux de calories qui seront brulées durant la séance sera beaucoup plus nombreux.

La tenue pour la pratique de l’accrobranche

L’accrobranche demande une protection optimale. La tête doit normalement être protégée par un casque. Dans le cas échéant, il faudra bien ranger les cheveux afin d’éviter tout accrochage avec les filets. Pour les parcours les plus difficiles, une paire de gants sera la bienvenue. La tenue des cordes peut faire mal aux mains. Cette précaution sera utile par temps froid. Pour ce qui est de chaussures, vous devriez porter des modèles fermés. Les sandales seront dangereuses. Une paire de baskets sera un excellent choix. Autrement, vous devriez miser sur des chaussures de marche. En ce qui concerne les vêtements, pensez tout simplement à bien vous protéger du froid. Dans les hauteurs, le vent est nettement plus fort que sur le sol.

Les différentes installations pour le parcours

S’il s’agit d’aménager un parcours d’accrobranche chez vous, il faudra disposer de quelques installations. Ce sont des équipements temporaires qui se vendent librement dans le commerce. La présence de piliers de suspension sera indispensable. Il vous faut également des filets à grimper ainsi que des fils de marche. Le pont oscillant et la passerelle suspendue restent également une base pour le parcours. Prévoyez les matériels nécessaires pour jouer à Tarzan. Le parcours continue avec une nasse et un tunnel en filet. Les harnais, les connecteurs ainsi que les équipements de protection individuelle complètent la liste des matériels à avoir. Sachez que la pratique de l’accrobranche demande la présence d’un moniteur hautement qualifié.